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Ma vie d'artiste.

Parce que l'écriture à mes yeux, est une aide à la respiration.

 




Dans les années 70, grâce à Louise-Marie Danhaive, la revue "Les Carnets", le mensuel d'information de la Maison de la Culture de Namur publie l'un de mes textes "Mon Père".   C'était une merveilleux présent, approchant les 20 ans, le public découvrait mes écrits.  

Aveuglé par l'orgueil, je ne savais pas que j'avais encore tout à apprendre.

Mon premier recueil de poésie Sous la pluie, Éditions Wesmael-Charlier voit le jour.  C'est de l'auto-édition, qu'importe, je sais que l'écriture ne me quittera plus.

Toujours dans les années 70, je me lance dans l'écriture d'une pièce rédigée en alexandrin.  C'est un monologue, celui d'un prisonnier qui se sait condamné.  Malheureusement, ma famille quitte Namur et l'amour se brise entraînant mes illusions.  Je ne terminerai jamais ce texte.


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Plus tard, je rédige "La Mosane".  Comme son nom l'indique, la Meuse en est la narratrice.  Ici, les antagonistes de l'histoire sont avant tout les paysages.  Les roches séculaires, les bâtiments anciens.  J'y confie mes amitiés d'enfance,   mon premier amour, celui qu'il m'est impossible d'occulter.  Le livre sera imprimé en auto-édition à tirage limité.  C'est un début, un texte maladroit mais un texte que je ne regrette pas.

Je me tourne vers le théâtre : Le Grand RetourUne simple histoire.  Le premier sera joué par un groupe d'enfants et d'adolescents.  De cette expérience j'en ai tiré de tendres enseignements.

Plus tard, reprenant la poésie, je rédige "Chez-nous".  Ces mots deviendront emblématiques de ma belgitude et, à mon grand étonnement, sera applaudi sur plusieurs scènes internationales "Carcassonne, Bruxelles, Lautrec, Narbonne, Montréal, Québec".

Dans les années 1990, je participe au concours international de la chanson française de la ville de Bruxelles non pas pour exhiber ma voix, je n'ai pas ce talent, mon but était de faire entendre la musique des mots.  J'y exhiberai une ballade: "Grand Père".   

Je reste convaincu que la poésie peut être sublimée lorsque les mots chantent comme une mélodie.  Cette conviction me conduira naturellement vers la chanson.  En hommage à une amie malheureusement disparue, saluant la ville de Jodoigne, j'écrirai une chanson intitulée "Les trois clochers".  Je l'interpréterai à sa messe d'enterrement.  Ce matin là, je réalise que pour des raisons de santé il me faut arrêter l'interprétation.



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Début 2014,  j'ai la chance et l'honneur d'écrire le texte d'un single sorti au profit de la Croix-Rouge de Belgique intitulé "Il ne faut pas grand-chose".  Une dizaine d'artistes accepteront de se joindre à moi pour l'interpréter.  Au plaisir de la création fusionne l'amitié.​  Eric Bettens, William Dunkers, Panorama08, Jérome De Warzée et tant d'autres se joignent à l'aventure, ce furent des instants de bonheur instance.  Malik (William TAi) en dessine la pochette.

Il est temps de reprendre l'écriture romanesque.  Le 4 mai 2014, je reçois au Salon International du Livre de Mazamet, le prix de la ville pour mon premier roman ayant trouvé un éditeur : Quand les singes se prennent pour des dieux.

Fin 2016, à sa demande, j'adapte en français quelques textes du chanteur poète flamand Lieven Tavernier.  Je resterai éternellement reconnaissant à ce grand poète flamand.

Ma vie romanesque continue.  J'espère simplement qu'elle ne lassera jamais les lecteurs qui me suivent.  Et la poésie?  Elle reste omniprésente, je lui dois tout.

Et puis?  deux prochains romans: Le silence interdit & Mon cœur n'est plus que cendre.  Une pièce en préparation : Et moi je suis tout nu.

A vous mes lecteurs je vous offre ma gratitude.Découvrir plus

 Un travail perpétuel


Quoique la poésie et le roman occupent une grande partie de ma vie, la chronique et le journalisme se joignent à mes occupations.

 

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